On remarque que les adjectifs « parfaite », « grande » soulignent encore cette beauté. La Princesse de Clèves (1678) Mme de Lafayette. On retrouve ici le terme de vertu qui était au centre de l’énumération ternaire qui qualifiait Mme de Chartres. lui en apprenait de dangereux ; elle lui contait le peu de Donc, le texte n’est pas sans renfermer une forme de paradoxe sur le traitement des passions. En dernier lieu, la recherche d’un amour correspondant à l’amour précieux décrit dans la Carte du Tendre . Mais la beauté de Melle de Chartres ne serait rien si elle ne s’accompagnait d’une naissance noble. mères s’imaginent qu’il suffit de ne parler jamais de galanterie Tout ce passage évoque son action : « elle faisait souvent », « elle lui montrait », « elle lui contait », « elle lui faisait voir », « elle lui faisait voir aussi », la multiplication des verbes dont elle est le sujet témoignent de la proximité qu’elle a établie avec sa fille, et l’imparfait marque la répétition. Comme dans les contes de fées aussi, elle ne fréquente que des rois et des princes, et même elle en épouse un. Ainsi le choix de la vertu paraît motivé par le souci de sa réputation et de sa gloire. La métaphore « plonger » suggère l’abîme et la perdition absolue. Mme de Chartres, mère de la princesse de Clèves, enseigne à sa fille les dangers de la passion mais celle-ci, nourrissant estime et respect pour son mari, M de Clèves, va être déstabilisée par les sentiments que lui inspire le duc de Nemours. ( Déconnexion / S1 s2 LECTURE ANALYTIQUE: le portrait de Melle de Chartres INTRODUCTION CONTEXTE Le XVII ème, siècle du Classicisme [se définit par un ensemble de valeurs et de critères qui dessinent un idéal s'incarnant dans l’« honnête homme » et qui développent une esthétique fondée sur une recherche de la perfection, son maître mot est la raison], a hérité de la Renaissance le goût pour l les malheurs domestiques où plongent les engagements ; et elle Question de grammaire : These cookies will be stored in your browser only with your consent. Madame de Chartres, qui était extrêmement glorieuse, ne trouvait presque rien digne de sa fille. Explication linéaire n°1du roman : La Princesse de Clèves, Mme de Lafayette, 1668, (la mort de Mme de Chartres) « Il faut nous quitter, ma fille, lui dit-elle, en lui tendant la main ; le péril où je vous laisse et le besoin que vous avez de moi augmentent le déplaisir que j’ai de vous quitter. Le mouvement est alors vers le haut : « combien la vertu donnait d’éclat et d’élévation à une personne qui avait de la beauté et de la naissance ». https://bacdefrancaisblog.wordpress.com/.../portrait-de-mlle-de-chartres naissance ; mais elle lui faisait voir aussi combien il était Les 2 propositions subordonnées exclamatives indirectes*** [quelle tranquillité suivait la vie d’unehonnête femme], et. la cour. Créez un site Web ou un blog gratuitement sur WordPress.com. Au XVIIème siècle, pour une femme ce terme renvoie à la fidélité et à la chasteté et se rapproche de « l’honnêteté », que l’on retrouve ici avec l’expression « une honnête femme ». de Mme de Clèves d'avouer qu'elle a reconnu M. de Nemours, annonce beaucoup d'autres refus et prépare déjà le refus final. De fait, le discours de Mme de Chartres annonce exactement le propos du roman, et le personnage pourrait se confondre avec la narratrice : le vocabulaire du récit « parler », « conter » associé à celui de la peinture « les peintures de l’amour », « elle lui montrait », « elle lui faisait voir » peut évoquer l’écriture romanesque dont le projet est bien de restituer ce que l’amour peut avoir « d’agréable » et « de dangereux », suivant la conception même de Mme de Lafayette. Les termes employés « donné ses soins », « travailler à » connotent l’effort et la continuité. Le terme lui-même est employé à plusieurs reprises dans le texte : « une beauté » (l.1), « une beauté parfaite » (l.2), « une personne qui avait de la beauté », « la grande beauté ». Ainsi Mme de Chartres, à la mort de son mari, s’en est éloignée pour se consacrer à sa fille. Sans doute finit-elle par choisir effectivement la vertu, mais là encore ses motivations sont complexes, car la peur de n’être plus aimée, la peur d’être abandonnée entrent également en jeu. L’école des femmes, mise en scène Jacques Lassalle, Comédie française, 1) Un personnage au commencement de sa vie. Bien sûr, il s’agit d’un personnage qui appartient à l’aristocratie, une princesse qui comme dans les contes de fées semble avoir tout pour elle, la naissance, la beauté, l’éducation. De fait, le titre du roman … peut faire le bonheur d’une femme, qui est d’aimer son mari et La narratrice souligne son « extrême jeunesse » et précise son âge, « seize ans ». monde, et l’on doit croire que c’était une beauté parfaite, Ainsi d’achève cet article “La princesse de Clèves portrait de Mlle de Chartres”, n’hésite pas à poster un commentaire sous cet article si tu as des questions ou si tu as aimé le contenu. Dans ton introduction, pense à présenter brièvement le roman et à situer cet extrait dans l’œuvre : il s’agit de la première apparition de Mlle de Chartres (future Princesse de Clèves) dans le roman. La narratrice interrompt ensuite la narration pour faire le portrait de la jeune fille, avant de reprendre le fil du récit dans le paragraphe qui suit. d’en être aimée. Vous pouvez l’utiliser pour afficher du texte, des liens, des images, des balises HTML ou une association de ces éléments. Elle était de la même Chacun tente d’identifier l’auteur de cet ouvrage avant que Mme de Lafayette avoue à demi-mots l’avoir écrit dans une lettre adressé à l’un de ses amis. Avec la Princesse de Clèves, Mme de Lafayette propose un personnage féminin complexe. 3) Une peinture négative de la passion. L’éducation donnée par Mme de Chartres vise donc à faire de sa fille une future épouse fidèle et dévouée à son mari. maison que le vidame de Chartres, et une des plus grandes Si cette préoccupation semble normale pour une mère appartenant à l’aristocratie au XVIème ou XVIIème siècle, le mariage apparaît bien comme l’aboutissement de l’éducation reçue par la jeune fille, éducation qui en fait également un personnage singulier. L’argument de Mme de Chartres est que la vie vertueuse apporte la paix (« tranquillité ») et rehausse. La narratrice nous la présente par une formule qui la singularise fortement : « Mme de Chartres, sa femme, dont le bien, la vertu, le mérite étaient extraordinaires ». Lorsqu’elle arriva, le vidame alla au-devant d’elle ; il fut surpris de la grande beauté de mademoiselle de Chartres, et il en fut surpris avec raison : la blancheur de son teint et ses cheveux blonds lui donnaient un éclat que l’on n’a jamais vu qu’à elle ; tous ses traits étaient réguliers, et son visage et sa personne étaient pleins de grâce et de charmes. C’est-à-dire la souffrance liée à l’infidélité (l’opinion de Mme de Chartres envers les hommes est extrêmement négative ! Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Google. Considéré comme le premier roman d’analyse psychologique de la littérature française, La Princesse de Clèves est publié anonymement en 1678 et ce n’est qu’un siècle plus tard qu’il paraît sous le nom de Mme de Lafayette. Quelle image le texte nous donne-t-il de la jeune fille ? On retrouve ici un des traits caractéristiques de la fin du XVIIème siècle : autant le début du siècle croyait aux héros, aux personnages parfaits en toutes occasions, autant la fin du siècle se méfie et passe au crible leurs motivations cachées. Les champs obligatoires sont indiqués avec *. Ainsi derrière les paroles de Mme de Chartres, se profile un orgueil démesuré : la proposition exclamative « combien la vertu donnait d’éclat et d’élévation à une personne qui avait de la beauté et de la naissance » le montre clairement. Ceci est un widget de texte. Il puisqu’elle donna de l’admiration dans un lieu où l’on était Modifiez-les dans la section Widget de l’. La Princesse de Clèves : portrait de Melle de Chartres (texte) Séquence : l’apparition du personnage. de soi-même, et par un grand soin de s’attacher à ce qui seul difficile de conserver cette vertu, que par une extrême défiance En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées. fille des peintures de l’amour ; elle lui montrait ce qu’il Cette lettre appartient au vidame, qui par crainte de la réaction de la reine demande au duc de Nemours de la faire passer pour sienne. De fait, la narratrice souligne (autre emploi de l’adjectif « extrême) que Mme de Chartres « était extrêmement glorieuse ». perdu son mari, elle avait passé plusieurs années sans revenir à Ainsi, cette jeune femme a été élevée en apprenant l’existence de la passion mais sa mère l’a mise en garde sur les dangers qu’elle renferme, selon toute la pensée du siècle classique concernant cette question. Donc La princesse de Clèves portrait de Mlle de Chartres. Mme de Chartres est présentée comme une mère différente. Mme de Chartres oppose donc l’amour et ce qu’il peut avoir « d’agréable » à ce qu’il peut avoir de « dangereux ». Cette héritière était alors un des grands partis qu’il y eût en France ; et, quoiqu’elle fût dans une extrême jeunesse, l’on avait déjà proposé plusieurs mariages. Lecture analytique n° 1 : extrait de La Princesse de Clèves, Madame de Lafayette, 1678. Problématique: en quoi ce portrait de Mlle de Chartres est-il révélateur de la préciosité? La voyant dans sa seizième année, elle voulut la mener à la cour. sincérité des hommes, leurs tromperies et leur infidélité ; ( Déconnexion / En 1678, la publication anonyme de La Princesse de Clèves déclenche une vive polémique. La première phrase mentionne cette arrivée : le verbe « paraître » employé au passé simple avec la précision temporelle « alors » montre qu’il s’agit d’un événement qui marque la cour. (question centrale dans l’oeuvre). Mais l’hésitation et la tentation montrent bien que le personnage est faillible. si accoutumé à voir de belles personnes. Le mariage est en effet évoqué directement ou indirectement à plusieurs reprises dans ce portrait. (portrait de Mlle de Chartres, future princesse de Clèves) Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l’on doit croire que c’était une beauté parfaite, puisqu’elle donna de l’admiration dans un lieu où l’on était si accoutumé à voir de belles personnes. (Résumé complet de La Princesse de Clèves ICI). La force de l’adjectif est à souligner. Dans un premiers temps, cette attention est considérée comme générale avec l’expression « tout le monde » (l.2), dans un second temps elle est rapportée à un personnage précis, le vidame de Chartres : « le vidame[1] alla au devant d’elle » (l.22). Ouvertures : - Le portrait de Mlle de Chartres (où Mme de Chartres, sa mère, l’avertit sur les hommes, et les dangers de la passion) - Les adaptations cinématographiques : Learn vocabulary, terms, and more with flashcards, games, and other study tools. héritières de France. Cette ruse ne réussit pas, et le vidame perd la confiance de la reine, preuve supplémentaire des dangers de « la galanterie ». L’actrice Marina Vlady dans le film La Princesse de Clèves (1961). De même, Mme de Chartres évoque en parlant de l’éducation de sa fille « une personne qui avait de la beauté et de la naissance ». Le texte se construit autour de l’arrivée à la cour de Melle de Chartres. a d’agréable, pour la persuader plus aisément sur ce qu’elle les qualités de naissance («beauté», « naissance»). ( Déconnexion / Enfin merci de nous avoir lus. Une autre formule superlative est employée à la fin de l’extrait : « cette héritière était alors un des plus grands partis qu’il y eût en France ». La précision du titre témoigne d’une ascension dans la noblesse. Dans cet extrait qui se situe dans les premières pages du roman, nous est présentée Melle de Chartres lors de sa première apparition à la cour. Aveu de la princesse de Clèves à son mari (scène de Coulommiers), En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées. This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. L’écriture de roman n’apparaît pas alors comme une occupation qu’une femme et qu’une aristocrate puisse revendiquer. Ce personnage est l’oncle de Melle de Chartres. Ce qui est en jeu dans cette présentation à la cour, c’est bien sûr la volonté de sa mère de trouver pour sa fille un parti intéressant. D’ailleurs, la description de l’héroïne est sublimée. Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le Son père était mort jeune, et l’avait Le widget de texte permet d’ajouter du texte ou des balises HTML à n’importe quelle colonne latérale de votre thème. Out of these cookies, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the website. Tome I, « Le portrait de Mlle de Chartres » Cliquez ici pour accéder directement au commentaire du portrait de Mlle de Chartres Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l’on doit croire que c’était une beauté parfaite, puisqu’elle donna de l’admiration dans un lieu où l’on était si accoutumé à voir de belles personnes. Ce site utilise des cookies, en continuant de naviguer sur ce site internet vous acceptez l'usage des cookies afin d'améliorer la qualité des services à vous proposer. Start studying FRANCAIS - Bac - Le portrait de Mlle de Chartres - Explication linéaire La Princesse de Clèves. La jeune fille est avant tout remarquée pour sa beauté. Le texte dont l’action est située au XVIème siècle, à la cour du roi Henri II, fils de François I, a comme personnage principal une jeune femme, Melle de Chartes, qui épouse au début de l’œuvre le prince de Clèves, mais tombe ensuite amoureuse du duc de Nemours qui partage les sentiments de la jeune femme. Ce roman, écrit en plein classicisme, alors que l’amour précieux est le sujet favori de… En outre, il témoigne de la pensée en vigueur pendant la préciosité. ( Déconnexion / Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Le portrait de Mlle de Chartres se dessine à travers l'évocation de l'éducation prodiguée par sa mère, Mme de Chartres, et son caractère est illustré par la réaction de la jeune fille face à l'admiration que lui voue M. de Clèves lorsqu'il la rencontre pour la première fois. Le portrait de Melle de Chartres : Situation ; Vocabulaire; Notes de lecture : Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l'on doit croire que c'était une beauté parfaite, puisqu'elle donna de l'admiration dans un lieu où l'on était si accoutumé à voir de belles personnes. lui donner de la vertu et à la lui rendre aimable. Finalement, ce portrait de l’héroïne, Mlle de Chartres, révèle les valeurs féministes inculquées par sa mère. Classicisme/ Préciosité / Mlle de Scudéry (précieuse, 1607-1701, etc.) Avertissez-moi par e-mail des nouveaux commentaires. Ces deux qualités sont mises sur le même plan avec la conjonction de coordination « et ». Pour appuyer son propos, on note que la narratrice intervient directement : « l’on doit croire » (emploi d’un présent d’énonciation), « et il en fut surpris avec raison » (modalisateur). / Artamène ou Le Grand Cyrus (roman-fleuve, nbx personnages et dc nbx portraits, dont celui de Cléomire)/ situation du passage + Cléomire = Mme de Rambouillet / pbq : mettre l’accent sur l’éloge/ annonce du plan : suivre le mvt du txt. En effet, pour se défendre contre l’amour et préserver la vertu, le conseil donné par Mme de Chartres est celui « d’une extrême défiance de soi-même ». Elle est Melle de Chartres et non « la princesse de Clèves ». Maxime 1 : Ce que nous prenons pour des vertus n’est souvent qu’un assemblage de diverses actions et de divers intérêts, que la fortune ou notre industrie savent arranger ; et ce n’est pas toujours par valeur et par chasteté que les hommes sont vaillants, et que les femmes sont chastes. We also use third-party cookies that help us analyze and understand how you use this website. Si Melle de Chartres paraît dotée de grandes qualités, elle est ici au commencement de son histoire. Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter: Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Tout cela suggère que Mlle de Chartres est appelée à une union prestigieuse. Elle n’est pas encore mariée, non plus. Si ce mouvement vers le bas caractérise le choix de l’amour, en revanche le choix de la vertu permet l’élévation. Mais l’originalité de cette éducation est d’évoquer l’amour et « la galanterie » au lieu d’en taire l’existence (Notons que la question de l’éducation des filles avait fait l’objet de l’Ecole des femmes de Molière en 1662). Ainsi, après un tableau de la cour des Valois, la romancière se livre au portrait de la jeune fille âgée de 16 ans a reçu une éducation prodiguée par sa mère, Mme de Chartres. [2] Dans la suite du roman, l’intrigue se développe autour d’une lettre d’amour perdue, qui est diffusée dans toute la cour. Tu peux t’aider de mon analyse de La princesse de Clèves(spécial bac 2020). En effet, elle y reprend et développe les grands thèmes esquissés en 1662 dans La Princesse de Montpensier. Considéré comme le premier roman d’analyse psychologique de la littérature française, La Princesse de Clèves est publié anonymement en 1678 et ce n’est qu’un siècle plus tard qu’il paraît sous le nom de Mme de Lafayette. Ainsi Mme de Chartres, à la mort de son mari, a quitté la cour et s’est occupée de l’éducation de sa fille. Cette éducation a pour but de « lui donner de la vertu et à la lui rendre aimable ». Chartres avait une opinion opposée ; elle faisait souvent à sa Cette singularité apparaît aussi dans la critique de la narratrice qui ne parle des autres mères que pour souligner la différence de Mme de Chartres : « la plupart des mères s’imaginent que.. », « madame de Chartres avait une opinion opposée ». Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. These cookies do not store any personal information. seulement à cultiver son esprit et sa beauté, elle songea aussi à Mme de Lafayette semble illustrer ici ce que La Rochefoucauld écrit tout au début de ses Maximes (1664): « Nos vertus ne sont, le plus souvent, que des vices déguisés ». La mention de cette noblesse pose aussi la question du mariage de Melle de Chartres. Avertissez-moi par e-mail des nouveaux articles. lui faisait voir, d’un autre côté, quelle tranquillité suivait You also have the option to opt-out of these cookies. Necessary cookies are absolutely essential for the website to function properly. Cependant le personnage n’est que très peu décrit « la blancheur de son teint », « ses cheveux blonds », « tous ses traits étaient réguliers », « pleins de grâce et de charmes ». Tout d’abord, La Princesse de Clèves est un roman publié anonymement par Mme de La Fayette en 1678. la vie d’une honnête femme, et combien la vertu donnait d’éclat It is mandatory to procure user consent prior to running these cookies on your website. laissée sous la conduite de madame de Chartres, sa femme, dont le Son entrée à la cour est présentée comme une entrée dans le monde, mais ce lieu même est considéré comme dangereux. bien, la vertu et le mérite étaient extraordinaires. C’est un ami de M. de Nemours, et au début du roman il est le confident de la reine, Catherine de Médicis[2]. La narratrice en fait un personnage sensible et inquiet, qui n’apparaît donc pas aussi idéalisé qu’on pourrait le penser. Changer ). Le terme est repris plusieurs fois : « la vertu » l. 15, « Cette vertu » l.16. Any cookies that may not be particularly necessary for the website to function and is used specifically to collect user personal data via analytics, ads, other embedded contents are termed as non-necessary cookies. Cependant son parcours est plus douloureux et difficile, et comporte beaucoup d’interrogations sur elle-même. devant les jeunes personnes pour les en éloigner : Madame de « le peu de sincérité des hommes, leurs tromperies et leurs infidélité », trois expressions pour dire la même chose, le choix de la redondance est significatif) et les conséquences désastreuses de l’infidélité au sein du mariage : « les malheurs domestiques où plongent les engagements ».